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Archives et patrimoine

L'histoire de l'école St James :

 

En cette période de rentrée scolaire, nous vous invitons à (re)découvrir l’histoire de la construction de l’école de Saint-James à Montélimar, un projet qui a été mené en six années au début du XXe siècle.

Le 27 décembre 1901, Paul Gauthier, Maire de Montélimar, explique sa volonté de construire une nouvelle école à Saint-James devant le Conseil municipal réuni à l’hôtel de ville : « Je tiens à signaler la nécessité absolue qu’il y a à donner enfin satisfaction aux légitimes aspirations de l’importante agglomération du faubourg Saint-James et des populations des quartiers environnants, en créant, dans ce faubourg même, une école de garçons dont la réussite est certaine si l’on en juge par la prospérité éclatante de celle des filles ».

Le Conseil municipal de Montélimar approuve la création de l’école de garçons le 9 avril 1903. La dépense totale est de 40 000 francs dont 9 200 francs sont financés par l’État. Le plan de l’école est approuvé par le Ministère de l’Instruction publique le 28 février 1906.

La construction de l’école de garçons du faubourg Saint-James est terminée en 1907, comme nous le rappelle une inscription sur la façade ouest de l’école le long de la route de Saint-Paul.

 

 

 


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La thèse américaine sur la Seconde guerre mondiale à Montélimar disponible aux Archives

A l'occasion du 4 juillet, jour de la Fête nationale américaine, les Archives municipales et communautaires de Montélimar vous informent que la thèse du Docteur américain Cameron Zinsou est disponible en salle de lecture des Archives à la Maison des Services Publics.
Dans sa thèse intitulée : « Occupied : the civilian experience in Montélimar, 1939-1945 », il étudie la vie quotidienne des Montiliens et les relations entre les civils de Montélimar et la ville durant le second conflit mondial. Il analyse l’évolution des espaces et des lieux de Montélimar tout au long de la guerre, ainsi que la compréhension et l’interprétation des civils à ces changements...
Pendant six mois, de septembre 2017 à février 2018, Cameron Zinsou était venu quotidiennement consulter les Archives de Montélimar.

La salle de lecture des Archives est ouverte sur rendez-vous du lundi auvendredi de 8h30 à 12h00 et de 14h00 à 17h00.

Archives municipales et communautaires de Montélimar

Maison des Services Publics

1, avenue Saint-Martin 26200 Montélimar

04 75 53 21 21

service.archives@montelimar-agglo.fr

Légende :
Dr Cameron Zinsou lors de sa remise de diplôme de l’Université d’État du Mississippi et la couverture de sa thèse.

 Le petit train du Picodon (1893-1934)

Le petit train du Picodon siffle dans la Valdaine pour la première fois le 16 juillet 1893. Il est appeléainsi en référence au célèbre fromage Dieulefitois qu’il transportait. Le Picodon a été inauguré par le Sénateur-Maire de Montélimar Émile Loubet. La ligne faisait 29 kilomètres. Elle reliait l’actuelle gare de Montélimar à Dieulefit en une heure et demie environ à une vitesse commerciale de 15 km/h. Il y avait entre trois et quatre trains par jour (et parfois plus les jours de fêtes)...

Le billet coûtait 2,25 francs pour la seconde classe et 3,35 francs pour la première classe(pour comparer, un mécanicien de la ligne gagnait entre 100 et 120 francs pour 58 heures de travail par semaine).

C’était une ligne de chemin de fer de province qui s’inscrivait dans la dynamique plus globale voulue par le Président du Conseil Charles de Freycinet de donner à la France un important réseau de chemin de fer secondaire. Le ligne du Picodon était une ligne de chemin de fer à voie métrique : la voie où il circulait était plus étroite que la moyenne.

Le train du Picodon connaît un début très rentable (14 365 francs de bénéfices en 1893). Il est rapidement victime de son succès. Chaque commune où le train passait voulait son arrêt. Le développement du nombre d’arrêts dans les villages a eu pour conséquence un rallongement sensible du temps de trajet, qui allait parfois au-delà des 2 heures ! La volonté de réduire les coûts de fonctionnement du Picodon a conduit à une certaine médiocrité de son service dénoncée dans les journaux de l’époque…

Les nombreux retards et incidents (un déraillement causa même un mort) explique que la ligne est en difficulté dès 1900. Néanmoins, elle regagne un relatif répit durant la Première guerre mondiale, où elle transporte des troupes et des grenades. Les locomotives à vapeur sont remplacées dans les années 1920 par des automotrices à pétrole qui ont de meilleurs rendements. Mais elles n’arrivent pas à empêcher la mise sous séquestre par le Département de la ligne en 1922 suite à la faillite de la compagnie qui l’exploitait. Le Picodon réussit à survivre jusqu’en 1934, date où les trains arrêtent de circuler. Le matériel sera revendu à l’Italie alors en guerre avec l’Éthiopie, c’est la fin du petit train du Picodon. 

Légende :

Gare d’Espoulette à Montélimar. Collection Patrick Morand. Tous droits réservés.

Le cadastre de Cléon-d'Andran (1809)

Le cadastre de Cléon-d’Andran a été achevé le 1er septembre 1809, pendant l’Empire napoléonien. Il été réalisé par Mr. Poncet, géomètre du cadastre. Le cadastre est un plan montrant l’état despropriétés (maisons, biens communaux, champs, etc...). En France, la pratique est généralisée et uniformisée à partir de 1807...

À Cléon-d'Andran, le cadastre de 1809 représente un village bien différent de celui que nous connaissons aujourd’hui. On peut distinguer sur le plan du village la présence de remparts (qui forment le cercle extérieur), ainsi qu’une petite douve qui enserre le village de l’ouest à l’est en passant par le nord. On constatera aussi que ce plan nous montre bien la construction progressive du village. Ce dernier s’est organisé en plusieurs cercles concentriques autour de l’église.

Enfin, on peut remarquer en haut à gauche la représentation d’un aigle impérial. Il est présent uniquement sur la copie du cadastre conservé à la mairie de Cléon. Il est assez unique en son genre, et aucun des autres cadastres de l’agglomération n’en possède.

Légende : Cadastre napoléonien. Tableau d'assemblage et section F du village. 1809. Archives municipales de Cléon-d'Andran. 1G1. Tous droits réservés.

La charte royale de 13 mètres 
Dans cette charte, François Ier confirme des privilèges aux habitants de Montélimar...

« Francoys, par la grace de Dieu roy de France, daulphin de Viennoys, conte de Valentinoys et de Dyois. Comme dès le 26e jour d’octobre l’an 1461 le roy Loys XIe notre predecesseur, eust confirmé a noz chers et bien amez les consuls, manans et habitans de Montelymard certains previlleiges et exemption de payer […] que les habitans de Montelymard demoureroient quictes et exemptz, selon la forme de leurs previlleiges, de tous subsides, tailles, dons et impostz […] et qu’ilz n’y seroient taxez ne cotizez et seroient rayez des cothisations. […] Donné et prononcé à Lyon en notre grant conseil, le 11e jour d’avril l’an de grace 1535 avant Pasques et de notre reigne le 21e. »

Légende :
Charte royale en parchemin formée de 21 peaux collées bout à bout, avec sceaux des deux côtés à chaque ligature. Au bout, grand sceau en cire rouge du roi François Ier.
Archives de Montélimar. Charte n°159. 11/04/1535
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 Les photographies aériennes

Les Archives de Montélimar conservent de nombreuses photographies du territoire remontant à la fin du XIXe siècle. Parmi celles-ci, le fonds de photographies aériennes BEAUR prises entre 600 et 650 mètres d’altitude en 1976...
Grâce à ces photographies, nous pouvons observer depuis le ciel Montélimar il y a 45 ans...
Sur cette photographie, nous découvrons le quartier de Pracomtal dont la première pierre des nouveaux immeubles a été posée le 2 novembre 1967. Le nom du quartier remonte au XIIe siècle quand il appartenait au comte de Valentinois. Les étendues d’herbe fréquemment irriguées étaient consacrées à l’élevage et au pâturage des troupeaux sur le pré du comte, le pré comtal qui prit le nom de «Pracomtal».

Pour découvrir des photographies aériennes de votre commune, vous pouvez vous rendre sur le site «Remontez le temps IGN» (https://remonterletemps.ign.fr). Vous pourrez y comparer des cartes et des photographies aériennes anciennes et actuelles. 

Légende :
Photographie aérienne du quartier de Pracomtal. 1976.
Archives de Montélimar. 21Fi59_8535. Tous droits réservés.

La fête des mères dans les archives

La fête des mères trouverait ses origines dans l’Antiquité. En France, la commune d’Artas en Isère revendique la création de la Fête des mères. Le 10 juin 1906, le village organise une cérémonie en l’honneur de mères de familles nombreuses. Deux mères ayant chacune neuf enfants reçurent un prix de « Haut mérite maternel ». Le diplôme original imaginé par Prosper Roche, instituteur et fondateur de l'Union Fraternelle des Pères de Famille Méritants d'Artas, est conservé dans la bibliothèque de l'Institut de France avec les archives de l'association dont les statuts prévoyaient l'organisation d'une fête annuelle.

Dans les Archives municipales et communautaires de Montélimar, nous retrouvons quelques références à la fête des mères. Des délibérations du Conseil municipal de Montélimar de 1942, 1946 et 1948 la mentionnent ainsi que la correspondance dans les archives du cabinet du maire...

Le 5 avril 1965, le préfet de la Drôme écrit aux maires du département au sujet de la célébration de la fête des mères prévue le dimanche 31 mai 1965.

Le préfet écrit :
« Comme par le passé, il vous appartient de prendre toute initiative pour donner un éclat particulier à cet hommage aux mères de famille. Le comité local placé sous votre présidence effective a pour mission de réaliser dans un climat d’unanimité et de dignité, un programme comportant obligatoirement une cérémonie officielle au cours de laquelle les mères décorées de la médaille de la Famille Françaises recevront leurs distinctions. [...] Je vous engage vivement à associer à cette cérémonie, par une manifestation particulière, les mères de famille qui seraient retenues ou en traitement dans les maisons de repos, asiles, établissements hospitaliers, etc. et de faire accorder éventuellement, aux mères de famille qui devraient travailler le 31 mai un congé exceptionnel leur permettant de passer la journée avec leurs enfants. »

Légende :

Extrait du registre des délibérations du Conseil municipal de Montélimar. 1950.Archives de Montélimar. 1D38.

La collection des cartes postales humoristiques (1899-1906)
Les Archives municipales et communautaires de Montélimar conservent 371 cartes postales humoristiques éditées sous le septennat d’Émile Loubet, Président de la République de 1899 à 1906. Cette collection est communicable en salle de lecture des Archives à la Maison des Services Publics.Légende :
Voyage présidentiel d’Émile Loubet en Russie. Carte postale humoristique. 1902. Archives de Montélimar. 12Fi113. Tous droits réservés.

le territoire de l’Agglo au XVIIIe siècle
Réalisée par la famille de cartographes Cassini entre 1756 et 1815, la Carte générale de la France  est la première carte générale et particulière du royaume de France...
Composée de 180 feuilles accolées, elle donne une vision d’ensemble du royaume dans ses frontières de l’époque, ce qui explique l’absence de Nice, de la Savoie et de la Corse, mais la présence de villes aujourd’hui belges, luxembourgeoises ou allemandes.
Sur cet assemblage des feuilles n°90 de Viviers et n°121 de Vaison, nous pouvons observer l’actuel territoire de Montélimar-Agglomération. La carte est orientée au nord. Les villes, villages et lieux-dits sont mentionnés ainsi que les fleuves, rivières, forêts, bois, reliefs, chemins, etc.

Archives et Patrimoine : il y a 76 ans, en mai 1945 

Après la victoire des Alliés et la fin de la Seconde guerre mondiale en Europe, le Conseil municipal de Montélimar nouvellement élu se réunit. C’est au cours des élections municipales des 29 avril et 13 mai 1945 que les femmes votent pour la première fois...
Le 18 mai 1945, à 18h00, les vingt-sept conseillers municipaux élisent le nouveau maire dans la salle de la Justice de Paix. Au troisième tour du scrutin, Raymond Crozier, ancien maquisard et président du Comité de Libération, est élu maire de Montélimar contre le maire sortant Marius Spézini.
Le doyen des conseillers municipaux, Marius Milou, préside la première réunion du Conseil municipal et prononce ce discours :

« Mesdames, Messieurs, mes chers collègues,
Par une forte majorité les électrices et les électeurs Montiliens nous ont donné leur confiance en vue de les représenter à l’Assemblée municipale.
Je dois d’abord, en votre nom à tous, adresser un souvenir ému à tous ceux qui sont tombés pour le droit et la civilisation et aussi nos remerciements et nos sincères félicitations à nos vaillants soldats et à nos résistants, ainsi qu’à nos fidèles Alliés à qui nous devons la libération de notre territoire et l’écrasement de nos ennemis.
Si nous avons accepté la lourde tâche qui vient de nous être confiée, un devoir s’impose à nous, c’est de rester unis. Dès maintenant, nous devons nous mettre courageusement au travail, afin de résoudre au mieux les nombreux problèmes qui se posent chaque jour. […]
Nous aurons aussi à faciliter et à venir en aide à nos chers prisonniers et déportés afin qu’ils puissent rapidement se réadapter à la vie normale, ils ont droit à tous nos égards. Nous travaillerons utilement pour le bien de nos administrés et la prospérité de notre ville, et c’est dans l’union que nous trouverons la force nécessaire à la réalisation de notre tâche. […]

Vive la République !

Vive Montélimar !

Mesdames, Messieurs, je vous demande maintenant de bien vouloir observer une minute de silence en souvenir de tous ceux qui sont tombés pour la France et la civilisation. » 

Légende photo : Extrait du registre des délibérations du Conseil municipal, mai 1945. Archives de Montélimar. 1D38.

Lhistorique de la sculpture « Le lion et le rat » 
La sculpture en marbre « Le lion et le rat » est réalisée par Victor Peter en 1891. Cette représentation animalière de la fable de La Fontaine est acquise par l’État pour 7 500 francs au Salon de la Société nationale des beaux-arts à Paris puis conservée au musée du Luxembourg...
En 1900, elle est présentée à l’Exposition Universelle au Grand Palais à Palais.
En 1902, la sculpture est installée dans le jardin public de Montélimar suite à la demande de Madame Loubet, épouse du Président de la République.
Plus d’un siècle après, en 2016, elle est restaurée à la demande de l’État et déplacée dans le hall de la Maison des Services Publics de Montélimar. Un fac-similé la remplace dans le jardin public.

Légende : Photographie de la sculpture « Le lion et le rat » au jardin public, début XXe s.
Archives de Montélimar. Collection Patrick Morand. Tous droits réservés.

L’histoire du nom du Lycée Alain Borne :

Le 2 février 1962, le Conseil d’administration du lycée de Montélimar, appelé communément « lycée du Parc Chabaud », se réunit pour trouver un nom à l’établissement. Plusieurs noms sont proposés : Barthélémy Faujas de Saint-Fond, Olivier de Serres, Jacques Carrive, Mme de Sévigné, Émile Loubet, Margot Delaye, Les Adhémars, De Coston, Marx Dormoy, Diane de Poitiers.

Le Conseil d’administration se rallie finalement à l’unanimité sur les noms suivants : en numéro 1 : Barthélémy Faujas de Saint-Fond (1741-1819), géologue et vulcanologue né et décédé à Montélimar, en numéro 2 : l’agronome Olivier de Serres (1539-1619) et en numéro 3 : Jacques Carrive, professeur au collège de Montélimar, résistant abattu à Montélimar le 26 août 1944.

Suite à l’accident mortel du poète Montilien Alain Borne le 21 décembre 1962, le Conseil d’administration du lycée s’interroge sur le nom du lycée. Le 26 avril 1963, un vote a lieu pour déterminer l’ordre de présentation des noms et les résultats sont les suivants : en numéro 1 : Alain Borne, en numéro 2 : Barthélémy Faujas de Saint-Fond et en numéro 3 : Olivier de Serres.

Le 26 mars 1964, le Conseil municipal de Montélimar se prononce sur le sujet et propose que soit donné le nom de Lycée Alain Borne.

Le Conseil municipal ayant suivi l’avis du Conseil d’administration, le dossier peut enfin être expédié pour décision au Conseil Supérieur de l’Éducation nationale. Celui-ci, en fin d’année 1964, fait connaître que « le décès d’Alain Borne remontant à moins de 5 ans, son nom ne peut être actuellement retenu ».

Finalement, après six années d’attente, le Journal officiel publie le 5 février 1968 que le « lycée nationalisé mixte à Montélimar portera le nom de Lycée Alain Borne »

Légende : Rentrée des cours secondaires en septembre 1959. Archives de Montélimar. 18Fi385_001. Tous droits réservés.

Le territoire de l’Agglo au XVIIe siècle

Dans le fonds des documents iconographiques, les Archives municipales et communautaires de Montélimar conservent cette carte réalisée par le géographe Nicolas Tassin sous le règne de Louis XIII.

Les actuelles communes de l’Agglomération y sont représentées : « Mõtelimar », « Epeluche », « Marsane », « Savasse », « Sauzet », « La Battie », « Pigeron », « Clere dandrans », « Allans », « Puis St Martin ».
On observe également les reliefs, les rivières et le fleuve du « Rhones ».

L’orientation de la carte est inversée par rapport à nos cartes contemporaines. La fleur de lys pointe le nord au bas de la carte.

Légende :
Extrait de la carte du Gouvernement de Montélimar, Nicolas Tassin, 1638.
Archives de Montélimar. 29Fi1. Tous droits réservés.

 

- L’ancienne école des garçons du boulevard Marre-Desmarais Montélimar

Quelques années après la construction du théâtre de 1882 à 1885, l’architecte de la ville, Adam Niewiarowicz, dessine ce projet de reconstruction de l’école supérieure, l’école des garçons du boulevard Marre-Desmarais.
Le 11 octobre 1893, le Conseil municipal de Montélimar approuve ce projet. Le plan est signé par le Maire Émile Loubet.
Près d’un siècle après, en 1988, l’école est démolie pour laisser la place à une nouvelle construction : la bibliothèque municipale qui devient par la suite la médiathèque intercommunale Maurice Pic.
 

Légende : Plan de l’école de garçons du boulevard Marre-Desmarais. 1893. Archives de Montélimar. MN 20-2. Tous droits réservés.

- Marsanne, le 29 mars 1426 : remise des clefs de la ville

Ce parchemin, restauré et conservé aux Archives de Marsanne, confirme des libertés et la prise de possession de la seigneurie de Marsanne par les commissaires royaux pour le Roi-Dauphin.

La prise de possession s’effectue par la délivrance des clefs des portes du bourg et par le serment de fidélité d’Arnaud Odoard, capitaine de la tour, Raymond de Piégros, capitaine de la ville, Jean Ange, châtelain, Pierre Jalifier, damoiseau et des habitants les plus éminents.

Légende :

Confirmation des libertés et prise de possession de la seigneurie de Marsanne, parchemin, 1426.
Archives municipales de Marsanne. AA1.
 Tous droits réservés.

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800 ans d'histoire et de mémoire locale
Les Archives de la Ville et de l'Agglomération, situées depuis 2010 à la Maison des Services publics, sont accessibles à tous les habitants. Chercheurs, étudiants, généalogistes, scolaires, passionnés ou simples curieux peuvent découvrir des documents remontant au XIIe siècle.

Parmi les 2,5 kilomètres linéaires d'archives conservées, les chartes, l'état civil jusqu'en 1942, le cadastre, les registres des délibérations depuis le XIVe siècle, des photographies, des cartes postales anciennes, les recensements, des documents numérisés (152 000 fichiers) et bien d'autres documents sont consultables en salle de lecture sur simple présentation d'une carte d'identité.

 

Les Archives municipales et communautaires de Montélimar, mémoire de notre territoire, jouent une rôle important aujourd'hui en accompagnant la production des documents papiers et numériques de l'administration et en garantissant la transparence auprès des administrés. Elles collectent, classent, conservent, valorisent, communiquent au public ses fonds d'une grande variété d'époque et de supports et assurent des actions de médiation.

Le service archives est ouvert au public avec une salle spécifiquement affectée à la consultation des documents.

L'accueil des lecteurs a lieu dans les locaux à la Maison des Services Publics, au rez-de-chaussée aile sud, du lundi au vendredi sur rendez-vous.

La salle de lecture des Archives de Montélimar est ouverte du lundi au vendredi de 8h30 à 12h00 et de 14h00 à 17h00
sur rendez-vous dans le respect des gestes barrières. 

Port du masque obligatoire. 

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